Il y a eu mort d'homme, parmi les calomniés d'Outreau : François Mourmand

Il y a eu mort d'homme, parmi les calomniés d'Outreau, François Mourmand, un suicidé parmi les autres innocents,

mais on n'a jamais inquiété les ourdisseuses du climat de délire collectif qui s'est  facilement rendu maître du procureur et du juge d'instruction. On n'a jamais enquêté sur les assassines sans couteau, qui organisent une calomnie préventive et générique, conforme à leur perversité de paranoïaque, et si meurtrière quand elle dispose de la plupart des média, et de l'appareil judiciaire naïf. Alors que ce sont elles les véritables assassins. On a exhibé le petit juge en victime expiatoire : il ne faisait pas le poids en face de l'entreprise d'intoxication et de désinformation, dans toute son ampleur.

On se souvient qu'un des premiers gestes de l'occupant nazi à Paris, sitôt fini d'être tous occupés au pillage, fut de mettre dans les cinémas leur film "Le juif Süss", pour préparer les esprits au prochain massacre à l'échelle industrielle, et pour les rendre favorables et complices.

Or, devant la commission d'enquête parlementaire, le procureur Gérald Lesigne a fait un aveu essentiel : "Nous avons été piégé par le mythe de la pédophilie". Oui ? Et qui donc a imposé médiatiquement ce mythe en pleine force, afin d'illusionner à fond les esprits, et notamment les esprits des magistrats ?

Voici justement une citation d'un de leurs sites :