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pas d'accord sur l'éducation

 
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ninouchon



Inscrit le: 16 Avr 2004
Messages: 6
Localisation: Ile de France

MessagePosté le: Sam Avr 17, 2004 12:01 am    Sujet du message: pas d'accord sur l'éducation Répondre en citant

Le fils de mon mari a de graves difficultés scolaires et un comportement proche de la délinquance. Une commission éducative aura lieu dans quelques jours. Son ex-femme affirme que tout va bien et qu'il travaille bien, alors qu'on ne cesse de recevoir des appels du collège concernant son attitude. Les professeurs ont même décidé de le faire passer en 3ème, afin de s'en débarrasser. Pour exemple, il ne sort même pas ses affaires en cours, il insulte les profs... Mon mari n'arrive pas à se faire entendre auprès de son ex-femme, qui se voile la face. Ils ont l'autorité parentale conjointe et mon beau fils vit chez sa mère. Quels droits peut avoir mon mari ?
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Jacques Lavau



Inscrit le: 04 Aôu 2003
Messages: 179
Localisation: Vaulx en Velin

MessagePosté le: Sam Avr 17, 2004 12:59 pm    Sujet du message: Matériellement, peut-il se rendre à la commission ? Répondre en citant

Matériellement, peut-il se rendre à la commission éducative ?
Si en droit fictif, il a l'autorité parentale conjointe, qui pourrait s'opposer à le faire venir à cette réunion de commission ?

C'est justement l'occasion unique de confronter le droit fictif, et la réalité des faits accomplis, la réalité de la violence maternelle de fait, envers le père et la filiation paternelle.

Ensuite, il doit arriver avec des propositions d'action, des propositions adultes, un calendrier argumenté, et pas avec des jérémiades. Alors on tiendra compte de lui.

Ensuite il doit savoir qu'il est très improbable que les résultats soient immédiats sur le fils. Prévoir qu'il y aura des rechutes, et que le gamin fera un max pour faire chier les deux parents.

Il faut tenir plus longtemps que l'adolescence ne dure. Rester indestructible.

J'ai quelques élèves dont le soutien scolaire est financé par le Conseil Général, grâce à l'action d'assistantes sociales et d'éducateurs.
Selon son revenu, le père peut par exemple proposer un plan de soutien scolaire, mais demander qu'il soit co-financé par les deux parents, pour rattraper les plus gros retards du fils.

J'ai constaté que l'intervention d'un adulte tiers (le prof à domicile) aide sérieusement l'enfant à se distancer de situations relationnelles piégées.

Sinon, il me semble que la commission éducative peut nommer un éducateur, qui suivra un peu le gars. Un peu seulement : ils ont souvent une charge de travail plutôt affolante.

Poser la question à la commission : seul le juge a-t-il le pouvoir de transférer la charge éducative au père ? Que peut faire la commission en ce sens ?

Je relis votre message : "... le faire passer en 3e pour s'en débarrasser". Ce jean-foutrisme administratif est scandaleux. Le garçon sera nul et paumé dans la classe supérieure, il fera chier tout le monde, et s'installera dans la conduite d'échec.

Les 4e et 3e technologiques existent-elles toujours ? Je crains que non.
Sinon, dans le cas d'un tel ado, les avantages pourraient bien balancer les inconvénients.
Inconvénients : niveau faible, exigences faibles dans les matières générales.
Avantages : de l'atelier, du concret.

Si la maturation du cortex frontal prend du retard, alors le maintien en scolarité classique est inadapté. Passer au domaine du concret s'impose. Je déplore d'une manière générale qu'aucun collège ne dispose d'heures d'atelier : enfants sans mains et sans habiletés, sans épreuves de réalité, installés dans le rêve, la télévision et les jeux vidéos.
_________________
Jacques Lavau
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Leo85



Inscrit le: 17 Fév 2004
Messages: 135

MessagePosté le: Sam Avr 17, 2004 1:32 pm    Sujet du message: Education Répondre en citant

A la lumière de mon expérience personnelle, je dirais que les difficultés de l'enfant peuvent être liées à sa situation, et à l'intérêt que lui portent les autres...

Difficile, quand on ne bénéficie que de quelques heures de garde, de savoir comment il et perçu par sa gardienne et son entourage !

Ma fille était tombée dans cette spirale infernale avec sa mère, d'autant que contraint de quitter mon domicile pour échapper aux indemnités d'occupation, je n'ai pas pu pendant un an exercer régulièrement mes droits.
Mais je profitais des vacances pour l'amener en séjours de vacances, en voyage, à Paris...
C'est ainsi que j'ai regagné sa confiance, tandis que j'engageais auprès du Juge des Enfants une procédure d'assistance éducative.
Sur cette base, et ayant réussi à récupérer mon logement par la liquidation communautaire, j'ai demandé au jaf l'inversion de résidence.

Ma fille a retrouvé des habitudes de vie stables, une scolarité normale, et échappé à la pré-délinquance qui était l'affirmation de son mal-être.

Certes, j'ai sacrifié ma vie professionnelle, et mis en retrait ma vie sentimentale, mais les résultats me confortent dans ce choix.

Alors, ne jugez pas et surtout ne condamnez pas votre enfant pour ce relâchement.
Au contraire, manifestez tout votre amour, votre intérêt pour regagner sa confiance. Il faut qu'il sache qu'il peut compter sur quelqu'un en toutes circonstances...

Bonne chance icon_smile.gif
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ninouchon



Inscrit le: 16 Avr 2004
Messages: 6
Localisation: Ile de France

MessagePosté le: Sam Avr 17, 2004 1:45 pm    Sujet du message: pas d'accord dur l'éducation suite Répondre en citant

Mon mari participera à la commission éducative en présence de son ex-femme évidemment. Il sait que son fils est en échec, et il ferait n'importe quoi pour l'aider. Cependant, son fils ne veut plus aller au collège. Son idéal tracé : en scooter payé par maman ( contre l'accord du père) à trainer devant le collège, entre 2 jeux vidéos. Sa mère voit pour son fils, la même carrière que son nouveau mari : décharger des camions à Rungis... Il n'y a pas de sot métier, mais voilà, ce n'est pas un métier... Lorsqu'on en parle à mon beau-fils, il s'en fout, il dit qu'il verra ce qu'il fera le moment venu. Il faut savoir que pour lui, tout est facile, il a toujours de l'argent sur lui, et il obtient tout ce qu'l veut du côté de sa mère. Pourquoi s'emmerderait-il à aller au collège, puisque tout lui semble dû ?
Pensez-vous qu'un J.A.F pourrait nous conseiller et mettre en avant le fait que le gamin est en danger ? Que la mère ne joue pas son rôle éducatif ?
Merci de votre réponse et de votre soutien.
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Saint-Thèse



Inscrit le: 07 Nov 2002
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Localisation: Lyon

MessagePosté le: Dim Avr 18, 2004 10:59 am    Sujet du message: Ne pas confondre un JAF et un juge pour enfants. Répondre en citant

ninouchon a écrit:
Mon mari participera à la commission éducative en présence de son ex-femme évidemment. Il sait que son fils est en échec, et il ferait n'importe quoi pour l'aider. Cependant, son fils ne veut plus aller au collège. Son idéal tracé : en scooter payé par maman ( contre l'accord du père) à trainer devant le collège, entre 2 jeux vidéos. Sa mère voit pour son fils, la même carrière que son nouveau mari : décharger des camions à Rungis... Il n'y a pas de sot métier, mais voilà, ce n'est pas un métier... Lorsqu'on en parle à mon beau-fils, il s'en fout, il dit qu'il verra ce qu'il fera le moment venu. Il faut savoir que pour lui, tout est facile, il a toujours de l'argent sur lui, et il obtient tout ce qu'l veut du côté de sa mère. Pourquoi s'emmerderait-il à aller au collège, puisque tout lui semble dû ?
Pensez-vous qu'un J.A.F pourrait nous conseiller et mettre en avant le fait que le gamin est en danger ? Que la mère ne joue pas son rôle éducatif ?
Merci de votre réponse et de votre soutien.

Désolé, un JAF, ou dans 90% des cas une JAF, n'a aucun des soucis éducatifs, ni de santé mentale, qui incombent à des travailleurs sociaux, ainsi qu'à un juge des enfants qui fait correctement son travail.

Son principal souci est de rentrer chez elle à heure décente malgré une charge de travail démentielle. En clair l'administration lui donne discrètement, mais efficacement l'ordre de saboter son boulot, de faire semblant, et de faire n'importe quoi, mais sans se faire prendre.

Bien qu'Upatou répète qu'il a rencontré une JAF clairvoyante et de bon sens, majoritairement nous avons eu affaire à des juges pro-corruption, pro-violence, pourvu que ce soit pro-femmes. D'autres se plaignent de jugements qui les briment en tant que femmes, et qui restent préjudiciables aux enfants. Donc il faut se faire à cette réalité : dans leur majorité, les décisions des JAF sont incompétentes, hâtives, bourrées de préjugés. Et elles sont totalement incontrôlées : l'encadrement est inexistant, et les statistiques sont volontairement très lacunaires pour tâcher de dissimuler l'ampleur du scandale.

Le fils de votre mari profite à plein de la corruption : "Tout t'est permis, du moment que cela serve à démontrer que moi je suis une bonne mère, et que lui est un mauvais père".

Mes demi-soeurs aussi avaient bénéficié de cette corruption, afin de les recruter comme engins de guerre contre leur père. Même idéologie soixante-huitarde selon leur mère : elles avaient son plein soutien chaque fois qu'elles disaient pis que pendre de leurs professeurs qui n'étaient pas assez jeunes et séduisantes aux yeux des gamines. Elles étaient ainsi encouragées à la pire paresse scolaire : tout était toujours de la faute des autres, de la faute des profs, ou de la faute de leur père, jamais de la leur. Inutile de préciser qu'elles ont ainsi saboté leur scolarité, et qu'elles se sont faites une réputation atroce, par leur mufflerie, partout où elles sont passées.

Mon épouse a pleinement profité de l'enseignement de ma belle-mère, et su prendre le même chemin. La principale différence est que moi, contrairement à mon père, j'ai pu sauver ma vie jusqu'à présent. Question de bol, et d'âge aussi...
Ma fille aînée aussi bénéficie de tous les fruits matériels de la corruption, en récompense de sa complicité dans la mission parricide. Et cela depuis l'âge de quatorze ans. Inutile de préciser qu'elle n'a jamais pu terminer ni une première année de DEUG, ni une première année d'IUT. La corruption maternelle a fait d'elle une faussaire permanente. Il paraît qu'elle vend, et c'est tout. Sa réputation ? Allez, je censure...
Mais j'ai publié quelques dessins :
Ici sur la position hiérarchique de ma fille, supérieure à sa maman



Tout en restant néanmoins hiérarchiquement supérieure à son papa :



Alors quelle est l'intervention d'une JAF fanatique de la misandrie là dessus ? Mettre le père tout en bas de la hiérarchie : "Dorénavant, le droit de visite et d'hébergement du père s'exercera à l'initiative de la gamine.".
Ce qui met comme hiérarchie :

En haut mon épouse et son amante,

plus bas ma fille adolescente,

et tout en bas:

le père,

à qui tous ses enfants sont encouragés à donner des coups de becs, à receler les larcins, et à le couvrir de témoignages calomnieux.

Inutile de préciser que les autres enfants aussi se sont ainsi acheminés vers les échecs scolaires.

Pour l'instant ma dernière, réellement surdouée, n'a encore régressé que de la tête de classe vers le premier tiers, mais attendons la suite...


Conclusion pour votre mari, père de ce garçon : qu'il mette en avant que la politique de la corruption des adolescents est très vite très préjudiciable à ces ados, et qu'ils paient cher tout le restant de leur vie cette carence éducative. Il peut compter sur l'appui de travailleurs sociaux, des CPE et des principaux du collège, et parfois sur l'appui de juges pour enfants, et hélas qu'il ne compte pas sur l'intégrité des JAF, sauf à avoir de bons renseignements sur la JAF en exercice dans votre juridiction, et à condition d'être sûr de savoir à qui il aura affaire.
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Leo85



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MessagePosté le: Dim Avr 18, 2004 11:20 am    Sujet du message: Accord éducation Répondre en citant

Cette démonstration concrète confirme la perception que j'ai des rôles dévolus aux différents acteurs judiciaires et sociaux.
Il semble en effet établi que les jaf, pas plus que les enquêteurs sociaux ou experts recrutés à leur service pour accréditer des décisions scandaleuses, ne tiennent compte de l'intérêt de l'enfant icon_exclaim.gif

Pour ce qui est du "sauvetage" de l'adolescent, je ne peux qu'apporter un témoignage sur la façon de le remettre sur les rails :
il existe des formations par alternance, où le jeune se sent utile, reconnu et valorisé = moitié cours et moitié stage en entreprise.

J'ai vu ma fille complètement changer en 6 mois, et afficher des ambitions de niveau bac + 7 après un stage en milieu médical !

Le goût des études, c'est avant tout le goût à la vie ! icon_wink.gif
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Lun Avr 19, 2004 2:39 pm    Sujet du message: J'oubliais de préciser quelle notion de la hiérarchie Répondre en citant

J'oubliais de préciser quelle notion de la hiérarchie au juste, ces gentes dames connaissent et pratiquent :




Un bon crobard, et c'est plus clair, vous ne trouvez pas ?

Il s'agit d'une hiérarchie de privilèges, et non de responsabilité.
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ninouchon



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MessagePosté le: Ven Avr 23, 2004 10:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à tous pour vos messages. Il apparait qu'on ne peut pas lutter contre ce qui est établi, à l'encontre du bien être et de l'avenir d'un adolescent. En tout cas, nous allons effectivement réfléchir avant de faire appel au JAF. Nous avons également pensé à l'alternance, mais malheureusement il n'y aura droit que dans 1 an. Vu que les profs se sont toujours débarassé de lui en le faisant passer dans la classe supérieure, il n'a pas encore l'âge d'aller en alternance. Il va encore falloir patienter une année scolaire supplémentaire.

Autre chose assez triste également, c'est que mon beau-fils n'a absolument pas envie d'apprendre un métier quelconque... icon_cry.gif
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Ven Avr 23, 2004 11:47 pm    Sujet du message: N'oubliez quand même pas Répondre en citant

N'oubliez quand même pas de nous donner le résultat de la commission pédagogique.

Merci d'avance.
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ninouchon



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MessagePosté le: Lun Avr 26, 2004 9:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bien sûr je vous donnerai des nouvelles. On ne sait jamais, les expériences des uns peuvent devenir la force des autres ...
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ninouchon



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MessagePosté le: Dim Mai 23, 2004 1:46 am    Sujet du message: Répondre en citant

finalement la commission s'est plutôt bien déroulée. L'équipe enseignante a mis en place un cahier de suivi, et conseillé la garde alternée de mon beau-fils : une semaine chez sa mère, une semaine chez nous. Cela nous permet de mieux suivre son travail et son comportement.

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Jacques Lavau



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MessagePosté le: Dim Mai 23, 2004 2:52 pm    Sujet du message: L'équipe enseignante a conseillé... elle n'a pas le pouvoir Répondre en citant

ninouchon a écrit:
finalement la commission s'est plutôt bien déroulée. L'équipe enseignante a mis en place un cahier de suivi, et conseillé la garde alternée de mon beau-fils : une semaine chez sa mère, une semaine chez nous. Cela nous permet de mieux suivre son travail et son comportement.

icon_biggrin.gif

L'équipe enseignante a conseillé la garde alternée, mais elle n'a pas le pouvoir. Le pouvoir, c'est le/la JAF qui l'a. Elle fait ce qu'il lui plaît.

En attendant, c'est déjà une bonne nouvelle.

Tenez ferme vos principes éducatifs pour la suite !

Je n'ai pas le temps de rechercher et coller les infos pour développer plus.
En bref : ce que l'enfant ou l'adolescent ne vous dira jamais, car il n'en prend jamais conscience, c'est qu'il a besoin de parents assez redoutables pour le protéger des prédateurs. C'est comme cela depuis 200 millions d'années, depuis nos ancêtres paléomammaliens du Trias, ça n'a pas changé, et c'est très largement antérieur aux moyens de conscience des primates supérieurs.

Si l'enfant ou l'ado devient tyran, prédateur ou délinquant, c'est qu'il ne peut pas vous faire confiance pour être forts et redoutables à sa place. Et il est infoutu de vous le dire, vous devez le savoir par d'autres moyens.

Sources : Bowlby, Haley, Erickson. Et je n'ai pas le temps de vous le mettre conformément aux règles de la bibliographie universitaire.
J'ai justement d'autres urgences universitaires.
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Jacques Lavau
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gentil



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Nouveau messagePosté le: Lun Mai 24, 2004 10:50 am    Sujet du message: Autre solution Répondre en citant

Ne serait-il pas possible de faire intervenir le juge des enfants qui eux sont autant pour les mères que pour les pères ?
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