Une fillette et son père en danger en Nouvelle Calédonie

Message d'origine :

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Newsgroups: fr.misc.droit.famille
20/03/2008 02:22

 

bonjour,


je vous explique mon "affaire", qui se passe en Calédonie:

Il ya un bon mois de ca, un ami me transmet une de ses alertes Google
elle concernant un père qui se bat depuis un an et demi pour
récupérer, en vain pour l'instant sa fillette de 4 ans, laissé aux
soins de la mère, et surtout dans les pattes de son nouveau beau père
(policier municipal), qui s'est masturbé sur elle !! Et CE MONSIEUR A
APPAREMMENT PAS MAL D AMIS DANS LA JUSTICE !!!!!!!!

voici la pétition que le père fait circuler sur le net :

http://www.mesopinions.com/injustice-en-Nouvelle-caledonie-petition-petitions-08f900e6080bf4a7ec03931f3d7dcf4b.html


Si vous trouvez le moindre nom cité, dites le moi, car moi j'ai rien
vu. C'est l'avocat du père qui a rédigé le texte, c'est dire.

Le beau père, s'est dit diffamé, et a porté plainte. Le père, est
passé au tribunal pour cette pétition lundi dernier.


CE MATIN MEME,(20/03/08) le père a été arrêté et mis en GARDE A VUE ,
par la substitut du procureur, pour complément d'enquête !!!! Est ce
normal? comment puis l'aider juridiquement pour le sortir de là?

Ce n'est que le énième épisode d'un acharnement programmé contre un
père qui ne veut que le bonheur de sa fille;

Je l'ai rencontré, et j'ai pu discuter avec lui. Il m'a communiqué
tout son dossier contenant tous les certificats médicaux, procès
verbaux de plaintes (qui ont toutes été classées sans suite), etc.....

Moi, j'ai essayé de contacter les différentes associations de défense
et d'aide à l'enfance maltraitée en métropole, car je n'ai rien trouvé
de semblable ici, en Calédonie.

Pouvez vous m'aider, et me contacter rapidement, afin de le sortir,
lui et surtout sa fille de cet enfer, sur mon mail,
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A bientôt donc
 
Noumeenne
 
Je vais t'expliquer comment fonctionne le droit français, le vrai, pas
celui qui est écrit dans le Code pour amuser la galerie et duper les
gogos, mais celui qui est appliqué dans les vrais T.G.I. (Temples de
Grande Inexactitude) : Le seul père qui soit reconnu par nos gynarques
en toge noire, c'est celui que la mère fait et défait à son bon
plaisir, celui (ou celle, si ce sont des lesbiennes) qui a ses faveurs
du jour, précaires et révocables.
C'est expliqué en toute lettres sur la Bible des T.G.I. : Sisyphe.
Plus précisément à l'adresse
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1324 ou à
http://ladivecie.free.fr/article.php3?id_article=68 par Agnès Echène.

Quand des grands-parents, inquiets des maltraitances et des coups
subis par leur petit-fils, réclament l'application de l'application de
l'article 371-4 du Code Civil, ce sont les grands-parents qui sont
lourdement condamnés par l'injuge gynarque Isabelle B., pour outrage à
l'insoupçonnabilité de la Sainte-Mère (leur fille, alcoolique,
droguée, complice de vols sur vieillards).
Je tiens le jugement à la disposition des incrédules.

Bon, je répercute ton message sur http://caton-censeur.org. Je
répercuterai aussi la pétition, mais en en corrigeant l'orthographe et la ponctuation, qui sont atroces. A bientôt !


P.S. Quant à l'idéologie qui est appliquée au T.G.I. que je connais
personnellement, pour y avoir été particulièrement brigandé, en voici
le résumé :
Pour la délocalisation des pères devenus inutiles.
 
 
Et voici la pétition :
 

    


Date de création : 26/02/2008 
Date de cloture : 26/02/2009 

Auteur : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 
homme 

A l'attention de : Mr le président de la république 

Bonjour,

je suis un papa de 37 ans et je me bats depuis un an pour la garde de ma fille, pour violence et attouchement certifiés.

Tout a commencé il y a un 3 ans, par un simple divorce que j ai exigé, car mon ex-épouse me trompait avec un collègue de travail.

Nous sommes passés devant la JAF, qui a ordonné la garde alternée. Peu de temps après ma fille est revenue chez moi avec des traces de doigts sur les tibias. En avril 2006 j'ai rencontré ma future épouse, et nous nous sommes mariés en octobre 2006, ce qui n'a pas plus a mon ex-épouse, qui commença a me faire des avances sexuelles et du chantage au téléphone. Voyant que je ne cédais pas, elle me mit au tribunal pour récupérer ma fille X.

Je tiens a vous signaler que la première année de sa vie j'avais pris une année sabbatique pour la garder. Peu avant le procès, février 2006, ma fille est revenue avec une dent en moins, et une plaie frontale, je l'ai emmenée chez mon médecin traitant, celui ci fit un certificat de coups et blessures et ma fille lui a dit :

« Maman ma poussée sur les cailloux. 
»


A la suite de cela je suis allé déposer plainte à la police nationale. Celle-ci fut classée sans suite.

Le juge des affaires familiales a commencé a enlevé mon droit de visite en me laissant le 2EME et 4EME week end de chaque mois et la moitié des grandes et moyennes vacances. Ordonne une expertise psychiatrique sur l’enfant.



Le 23 MARS 2007 je récupère ma fille, en lui donnant sa douche j’ai constaté que ma fille avait un bleu sur les reins de 30MM sur 7MM et une ecchymose de 55MM sur 15MM à la cuisse droite de sa jambe, un médecin m’a fait un certificat et ma fille lui a dit que « C’est maman qui m’a poussée sur le mur ».

J’ai déposé une nouvelle plainte qui a été classée sans suite aussi.

Nous avons été reçus par le juge des enfants qui a été saisi par moi et à la suite de ça a demandé qu’une enquête sociale soit faite, et que le rapport soit déposé pour la fin août.

Le rapport d’ expertise psychiatrique dit que   (?)

Le 15/06/2007 en récupérant ma fille à l’école, j’ai constaté des marques au cou qui était dissimulé par une cravate.

Un médecin m’a encore fait un certificat, ma fille lui a dit que « C’est sa maman qui lui a tiré sur le cou parce qu’elle était en colère ».

J’ai déposé une nouvelle plainte et j’ai été interrogé par la brigade des mineurs de Nouméa.

Celle-ci fut classée sans suite aussi.



Au mois de juin rebelote, la mère me remets au tribunal, le juge laisse la même décision et me fixe une pension alimentaire de vingt mille francs XPF soit 167 euros environ, déboute la mère de sa demande tendant à être autorisée à emmener l’enfant en Australie durant une période où l’enfant ne réside pas chez elle.

Expertise psychiatrique dis que la mère a des traits névrotiques et moi-même psychorigide, que l'enfant ne démontre pas de signe de violence.

Le 3/06/07 on récupère ma fille avec des traces de doigts sur le bras droit de l'enfant, encore certifiés, dépôt de plainte et classé encore sans suite.

J'ai écrit une lettre au procureur de la république pour lui faire part du danger que court ma fille et que les plaintes malgré les certificats ont été classé sans suite.



Le 12/10/07 j ai récupéré ma fille à l'école, puis l'ai emmenée chez le psychologue et elle lui a dit qu'elle subissait des attouchements sexuels de la part de sa mère.

Aux urgences de l'hôpital, elle a été examinée puis hospitalisée pour plus amples examens.

L urgentiste, a faxé un signalement à la brigade des mineurs et au Parquet.

Le 16/10/07 je vais à la police de quartier pour déposer une plainte pour attouchements sexuels. Les policiers appellent la brigade des mineurs pour leur demander ou en était l’enquête, ils ont répandu qu ils n'avaient pas eu connaissance de ce dossier.

Le policier pris ma plainte. Peu de temps après la brigade des mineurs appela pour nous dire qu ils avaient retrouvé le signalement qui avait soit disant glissé sous le bureau.

L'après midi la brigade des mineurs m'a contacté pour interroger l’enfant, arrivé au poste, sa mère sortit du bureau de la brigade.

Un lieutenant de la brigade a dit à ma fille de venir avec elle. La mère répond vas y c’est une amie de maman, je me suis levé et crié au scandale.

Une demi heure après le beau père sortit de la brigade. Voyant cela j’ai appelé mon avocat car il y avait trop de magouilles (mère qui travaille dans une mairie et le concubin est policier municipal).

Dix minutes après, le même lieutenant m’emmène dans son bureau et commence à m’interroger. Elle me harcèle pour que je retire ma plainte en me disant si vous continuez à rester sur vos position, je vais mettre votre épouse en garde à vue et vous aussi. Je lui ai dis qu’elle n’a qu’a le faire, puis elle continue à m’interroger.

A la fin de l’audition elle sort la plainte pour que je l’a signe, jecommence à la lire et je m’aperçoit que ça ne correspondait pas du tout à mes dire, je lui ai dis que je ne signerai pas cela, elle a fait semblant de rectifié et ressort les feuilles, encore la même chose, mes dires n’étaient pas ceux qui était écrit, je me suis levé pour partir. Elle m’a dit de me rassoir et à quitté le bureau, une autre personne est venue et a rectifié la plainte. La mère et le concubin sont sortis par la porte de derrière avant l’enfant.

Quelques jours après la plainte a été classée. 

Madame a ressaisit le juge car elle voulait partir en Australie avec l’enfant, la juge n’a pas voulu prendre sa décision.



Le 26/10/07 je vais à l’école pour récupérer ma fille car c’est mon droit de garde, la maîtresse me dit qu’elle n’est pas venue de lasemaine. J’appelle la mère pour lui dire de me rendre l’enfant et elle me dit non tu peux aller porter plainte si tu veux.

Je me présente à la police et je dépose une plainte pour non présentation d’enfant. La police l’appelle et elle leur dit clairement qu’elle ne rendra pas l’enfant.

Le samedi 28/10 la mère, le concubin et les enfants (lui a deux petitefille) se présente à l’aéroport pour partir en Australie, la mère et mon enfant sont bloqués par la police des frontières car une semaine avant j’avais fais le nécessaire pour une non sortie du territoire del’enfant, cette sortie est valable pendant quinze jours car je lui avait fait au mois d’août une autorisation de sortie et en contre-partie elle devait me la laisser pendant une semaine. Bien sur elle n’avait pas tenue sa parole c’est pour cela que je l’ai fait.

La police m’appelle pour me dire qu’elle a voulu faire sortir l’enfant du territoire et me demande de venir.

Je leur montre le jugement et ils voient que c’est mon droit de gardeet que la juge avait refusé la sortie, en même temps je leur aie fait voir la plainte déposée.

Mardi midi, je reçois un appel de ma fille qui me dit papa j’aie pris l’avion et je suis en Australie. J’appelle la police des frontières pour leur demandé des explication et ils m'ont dit que c’est la juge qui a levé l’interdiction, pour lever une interdiction il y a deux possibilité, soit c’est moi qui la lève soit c’est le juge qui écrit à la police pour la levé, le problème c’est qu’elle l’a fait par téléphone.

Mon avocat à demandé le rapport à la police des frontières, il a du les relancer plusieurs fois et au bout d’un mois et demi on le reçut.

Tenez vous bien. Dans le rapport la mère dit : avisée de cette mesure, et des éléments à notre actif la mère nous indique qu’elle a pourtant rencontré la juge des affaires familiales durant la semaine écoulée laquelle lui a certifié de l’issue positive à la demande de sortie du territoire à la seule foi de l’autorisation écrite du père.

Vous vous rendez compte des magouilles, c’est inamissible.

En une semaine la mère a une date d’audience. La partie adverse demande que je fasse une expertise psychiatrique, j’ai dit au juge que je n’avais aucune objection et je voudrai que l’autre partie fasse la mêmechose. La juge rendit son jugement le 6/11/07 et ordonne l’expertise des deux et renvoie l’affaire au 12/02/08.

Pour l’anniversaire de sa cousine le 13 /12/07 j’ai demandé à la mère si je pouvais la prendre, la mère m’a dit OK.

Je vais à l’école pour récupérer ma fille et je vois qu’elle a du mal à marcher, je lui aie demandé qui lui arrive, elle me répond qu’ils ont recommencé à caresser son sexe.

Je l’aie emmené aux urgences, le médecin l’a examinée et m’a fait un certificat ou l’enfant lui dit que maman et dady (le beau père) l’ont caressée et que dady a fait  PIPI BLANC sur elle.

J’ai emmené la petite à l’anniversaire et en attendant je suis allé à la police pour déposer une nouvelle plainte. La police du central ne voulait pas prendre ma plainte car le lieutenant de la brigade des mineurs avait refusé. Il a fallut que je fasse un scandale et de les menacer que j’allais appeler le procureur général.

La brigade m’a fait monter et c’est un autre gradé qui a pris ma plainte car les deux autres lieutenants avaient entendu du bruit comme quoi ils connaissaient la mère et le concubin.

Une semaine après, nous revoila devant le juge des affaires familiales en référé .

Au lieu d’enlever l’enfant à sa mère, le juge enleva mon droit de visite.

Je n’ai pas revu ma fille depuis le 13/12/07.

J’ai fais appel au jugement du référé et j’attends la date pour passer.



Pour faire un lien vers cette pétition, cliquez-ici

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