J'ai peu de raisons personnelles d'avoir de la sympathie ni pour Loïc Brunet, ni pour Gérard Révérend, qui furent pour le moins complices lâches et silencieux, de la campagne de harcèlement par les nervis protégés par l'équipe de direction du forum de SOS Papas, que furent Annie Beaurain (sous le pseudo "Alie Boron"), JF Marsan et Jean-Paul Douhait (sous le pseudo "Jeanpapol" sur ce site là), harcèlement particulièrement coordonné par François Hercberg, cela de février 2005 à novembre 2005. Admirer les aveux de "Jeanpapol" et la parfaite entente avec François Hercberg sous le pseudo de "Mistigri1964" à
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/francois_sutra1490.htm.
J'ai peu de raisons d'avoir de la sympathie pour une association corrompue par sa direction occulte par des avocats, au service du rabattage vers des avocats, et dont les pratiques sont aussi agressives et aussi hypocrites envers ses alliés.
Toutefois, je ne peux que partager leur colère contre les campagnes de calomnies sexistes industrialisées. Je suis moi-même couvert de calomnies, et le gang qui les a organisées est parfaitement protégé depuis plus de neuf ans et jusqu'à ce jour par les complicités au sein du Palais d'Injustice.
Je partage leur exaspération devant l'idéologie sexiste victimaire qui domine les média, et la plupart des politiques. Nous avons donc publié une lettre ouverte aux candidats, suite à la promesse électorale de Madame Ségolène Royal, d'intensifier encore la guerre sexiste déjà en usage dans les tribunaux aux affaires matriarcales :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=40&Itemid=61. .
Je ne partage en rien l'analyse de Brunet et Révérend : eux pensent qu'on est égalitaire et non-sexiste, quand on accepte le bourrage de crâne des féminazies, qu'on leur fait des concessions. Or il en est des féminazies comme des staliniens ou des vendeurs de dieux : ils sont tous reconnus comme des menteurs professionnels irrécupérables. Il n'est plus un mot de leur part qui soit acceptable, ni qui mérite encore discussion.
Nous avons fait une analyse opposée, en posant noir sur blanc les lois de la loyauté intrafamiliale d'une part, d'autre part à imposer aux professionnels et associations oeuvrant autour de la famille :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=9.
C'est nécessaire, et c'est suffisant.
Quel que soit le sexe du parent pervers et abuseur, ou du conjoint pervers et abuseur, ses actes sont explicitement condamnés par notre code de déontologie familiale. Naturellement, sont condamnées par notre code la totalité des pratiques vicieuses et courantes des avocates, mais aussi des magistrates féminazies, leurs fraudes et leurs fautes professionnelles volontaires pour aboutir aux dénis de justices programmés.
Comme je me nourris de mon expérience personnelle autant que de celles des autres, ce code condamne aussi la quasi-totalité des pratiques de ma famille d'origine : je suis petit-fils de féministe historique, fils de misandre victimaire, frère de matriarque absolue... et laissons là la description de la suite de la descente toujours plus profond dans l'abjection.
Je suis consterné par la limitation morale de G.R., cette obsession narcissique qui le conduit à ne se préoccuper que de gestion politique et publicitaire de l'image, sans jamais aller au fond des choses. Manque de profondeur, tout dans la façade, aucun moyen de procéder à une révision, donc à une retraite en bon ordre vers une meilleure ligne, obligation à la fuite en avant à la moindre contrariété, incapacité à reconnaître l'autre et à dialoguer avec lui... Cette absence de profondeur l'oblige à se cramponner à des slogans hâtifs, et à des guerres de religion contre qui n'obéit pas à ses slogans.
Or l'analyse par les féminazies, de la violence intrafamiliale, est comme tout ce que font ces furies : c'est grevé de fautes monstrueuses contre l'honnêteté, contre la rigueur, contre l'éthique, ça ne vaut pas mieux qu'un trou de pisse dans la neige, ou que la biologie "
prolétarienne" selon Trofime Lyssenko. Nous n'avons rien à
concéder à ces perverses incurables. Il suffit d'avoir une idée claire des obligations et devoirs qui fondent une famille, une idée claire de ce qu'est la santé mentale, et des responsabilités familiales dans le développement soit de la résilience, soit de la maladie mentale, enfin une idée claire du cahier des charges pour une politique de prévention en matière de santé mentale.
En travail psychothérapeutique avec les familles, nous avons tous la même motivation de départ : "
Ma famille d'origine, je n'ai rien pu faire pour la remettre à l'endroit, pour l'amener à être moins folle, je n'avais aucun pouvoir à cette époque, mais celle qui est aujourd'hui dans mon cabinet, celle-là j'ai la compétence et le pouvoir de la remettre les pieds en bas et la tête en haut !". Nous sommes une profession de santé, nous raisonnons en médecins de la santé mentale, au long des générations. Nous avons publiquement exposé nos principes et nos valeurs au débat public et à la contestation publique. L'éthique est au centre de notre action. Vous pouvez la critiquer, la contester, proposer de l'améliorer, mais pas la négocier ni nous compromettre : ni nos épreuves de réalité ni nos principes éthiques ne sont négociables.
Ce qui nous différencie de nos prédécesseurs qui nous ont formés techniquement, est que dans l'
organisation Caton, nous nous consacrons d'abord à la politique de prévention, et non plus à la cure au cas par cas. Cette progression est enfin possible, car nous avons soit réalisé, soit collecté dans un autre métier, les quelques compléments scientifiques et managériaux qui manquaient encore.